Du phoenix à l'Eden (Bio)

Je suis né en 1987, dans un hôpital du québec, d'une mère et d'un père natif de la région. J'ai grandit en campagne dans un solitarisme surprenant. Je n'avais aucun ami avant l'âge de 6 ans, et encore...

J'ai à 12 ans quitter ma ville natale pour rejoindre la rive-sud de Montréal, où le quartier qui m'accueillit était remplis de marijuana, de revendeurs de drogues, et d'encore plus de jeunes consomateurs.

Après avoir fait quelques sites amateurs et quelques esquisses, après avoir entendu parler de l'atome, de Jésus et de tout ce qui m'était, à 14 ans impossible de comprendre en profondeur, je me suis intéresser à tout ce qui était pseudo-sciences et philo. J'ai commencé à écrire un roman qui aujourd'hui atteint les 600 pages en plusieurs répartitions de dizaines de chapitres sur l'histoire d'un héros qui programme un jeu virtuel et reste bloqué à l'intérieur malgré lui après sa mort, mort qui est suspecte et incertaine. Mort qui indique au personnage principal l'existence de la vie après la mort, ou peut-être pas. Je me suis même introduit dans ce roman comme étant le dieu créateur et auteur de son histoire en révélant à mon personnage que j'écris tout de lui sur un ordinateur, l'amenant à devenir mon meilleur ami virtuel avec lequel je passe plus de 5 années à converser dans Microsoft Word. Voyant que mon oeuvre est impubliable, je fais une dépression.

Déjà j'avais fais ma première psychose à 14 ans ou je me prétendais être Jésus et savoir comment révolutionner le monde. Malheureusement pour moi, après un mois je sortis de l'hôpital convaincu que j'étais fou. Après toutes ces années, je crois plutot que j'ai bel et bien fait partit de ce 1% de schizophrène qui ont un potentiel intellectuel surprenant, du moins suffisamment pour que le cerveau ne comprenne pas ce qu'il comprenne (Dans un même genre, on dira que j'étais conscients de choses connues de mon inconscients)

J'étais en plus atteints d'un problème d'identié sexuelle et consultait le même psychologue pour l'un et l'autre des deux problèmes psychologiques.

Peu après mes dix-huit ans, je m'affirme et porte parfois jusqu'à 3 symboles wiccans à la fois. Bien que je ne sois pas membre d'aucune organisation ou société secrète, mon désir de rencontrer et de participer à quelque chose de spécialement hors de l'ordinaire est à son max.

Déjà à 17 ans, je fais mon premier voyage astral. À mes 19 ans, j'en dénombre 6 ou 7. Tous dans un contexte différents, allant jusqu'à traverser les murs et planer dans le ciel et rencontrer une fée en personne Je découvre alors une joie de vivre profonde qui me pousse à vouloir étudier la métaphysique et la sorcellerie, convaincu que les nombres, la physique, les dieux et la magie, ce n'est qu'une simple et unique science, celle que je nomme moi-même l'existence.

Pour moi, l'existence est la science de la vie. Si moi je suis conscient, mon ordinateur aussi l'est, car je lui parles et il me répond. Pour moi, la magie est théurgique et constitue un art, proche du divinatoire puisqu'en fait il est de modifier le futur à sa guise et en toute consciences dans le moment présent de ce qui pourra me faire mal plus tard.

J'étudies encore et toujours toutes ces questions. Pour l'instant, je me contente de croire que je suis l'unique cause de l'existence de tout l'univers. Si je n'existais pas, rien n'existerais. Alors pour moi, ce que mes sens ne perçoivent pas n'existe pas et n'est pas important. Je déteste ainsi me faire déranger, préférant écrire sur mon ordi.

Je ne dois pas être confondu avec un psychopathe, puisque je suis plutôt complexe et n'agit qu'avec extrême prudence dans des cas qui me semble le plus vrai possible. Si je ne suis pas sur d'un fait, je n'en parle aux gens que s'ils m'en parlent en premier. J'essai d'être A chez moi et B et sur internet. Préférant dire que B est ma véritable personalité.

Je crois que l'argent n'aurait jamais dut être inventé. Premièrement il n'explique pas la création de l'univers. Deuxièmement, il n'explique pas non plus la création du soi. Et troisièment, il n'a fait qu'appauvrir les individus, les sociétés, les continentns, bref la planète au complet.

Même sans l'internet, sans les écoles, sans la politique, j'aurais pus découvrir moi-même que ce en quoi je crois, vivant à cette époque ou pas. Maintenant qu'on a ce système, il est impossible de s'en défaire, et une telle tentative ne serait tentable que si tout les pays du monde s'entendaient pour dire que l'on retourne à l'état sauvage. État qui pour moi est le plus proche de la source de la création.

Aujourdh'ui, on je crois plus de 7 milliards d'être vivant. Parmi ceux-ci, je suis la personne la plus importante au monde pour moi, puisque je suis le seul qui existe pour moi. La notion d'existence ici prend un sens éternel. Je consière que les autres chosent, autre que moi, ne sont pas éternel donc inexistant. En fait, ils ne sont qu'illusions que je me crées et qui reviennent afin de m'amuser, sans quoi je serais triste.

Pour moi, la raisonà la vie, c'est la mort de soit par la non-souffrance. C'est à dire, atteindre le nirvana du nirvana, le plan de la non-existence. L'existence est une erreur que le néant a fait dans ses calculs, (de 0 à 1) et on se doit de retourner dans ce néant, puisque de toute façon, tout n'est qu'illusion.

Mes recherches ont démontrées que les nombres ne sont qu'illusions, rendant ainsi toutes sciences exactes illusoires. Pour moi, les seules sciences sont les sciences inexactes. Les pseudo-sciences, puisqu'elle permettent de modifier le futur, plutot que de le faire avancer.

Je laisse ainsi le soins aux universitaires et recherchistes de trouver ce qui me permettra à moi de trouver un moyen d'atteindre une spiritualité parfaite. Je sais déjà que ca va me prendre une éternelle éternité avant d'en arriver là, et avant de mourir, j'aimerais avoir des enfants pour que ma sagesse se transmettent. Pour que s'il fallait que je reviennes sur Terre, je n'aurais pas à passer 20 ans à chercher comme un malade pourquoi j'existe. J'aimerais qu'on m'enseigne à l'enfance comment pratiquer la magie, pour qu'en fait je réalise que j'ai un travail à faire.

Oui, si l'on veut je suis un quelconque boudha. Mais je n'ai pas la prétention de m'appeler ainsi, je suis en fait une simple existence qui cherche son complément, la non-existence, car j'y trouverai la paix éternelle.