"Je commençai par :
Du néant je suis là
De la vie en voilà
En veux-tu en v'là
Sur Terre ou pas
Dans l'astral ou pas
Je m'en fous pas
Je veux tout ça
Et ceci pour toi
Car c'est de moi
Et s'en suivit de ma voix pluis forte :
Du néant de celui
Qui du tout petit
Devient lui aussi
Maximus du Mini
Et petit à petit
Permet à autrui
De comprendre l'infini
Grâce aux manuscrits
Qu'il déchiffrit
Et ainsi nous permit
Puis je criai :
Du néant à Dieu
De lâche à pieux
Permettre aux cieux
De redonner mieux
Cet amour périlleux
Augmentant le milieu
De sieur à monsieur
Vers les plus saints lieux
Né de petits oeufs
Des anges, mes ailleux
Puis je m'arracha les cordes vocales :
Du néant au moment
Des changements
Qui changent le temps
Et qui largement
Augmente les gens
Vers ce sens sans sang
Sans que pour autant
En redemandes les gens
Puis je parvins à lacher de ma voix suffocante :
Adieu du néant"